La Rénovation Épique du Dernier Étage : Mon Penthouse de Luxe dans Hotel Renovator
Je me suis lancé dans une aventure folle : rénover le dernier étage d’un hôtel de luxe dans Hotel Renovator ! Avec seulement 21 000 $ en poche (une misère pour un penthouse, avouons-le), j’ai dû faire des choix cornéliens entre le bling-bling et le fonctionnel. Suivez-moi dans cette épopée de décoration où les robots font le sale boulot pendant que je m’arrache les cheveux sur le choix des parquets !
Le Hall d’Entrée : Première Impression, Dernière Chance
En arrivant dans le hall, j’ai tout de suite compris que c’était le moment de briller. Fini les numéros de chambre banals, ici on est dans le PENTHOUSE, mes amis ! J’ai opté pour un sol en bois chic à 9 $ le mètre carré (oui, ça pique, mais hey, c’est le luxe ou rien). Pour les murs, j’ai joué la carte New York avec des briques rouges. Parce que rien ne dit « je suis riche » comme un mur de briques, pas vrai ?
Les Contraintes : Quand le Jeu Décide de Corser les Choses
Surprise ! Pour la première fois dans ce jeu, j’ai dû faire face à des contraintes sur le nombre de meubles à placer. C’est comme si le jeu avait soudainement décidé de me rappeler que je n’étais pas un décorateur tout-puissant. Deux commodes, deux tapis… C’est tout ? Vraiment ? J’ai l’impression d’être dans un épisode de « Déco avec 3 francs six sous » !
L’Armée de Robots : Mes Petits Minions Efficaces
J’ai peut-être un peu abusé sur le nombre de robots de nettoyage. Mais hey, c’est gratuit, alors pourquoi se priver ? Les voir s’activer partout, même dans les recoins les plus improbables, c’est un peu comme avoir sa propre armée de Roomba sur stéroïdes. Efficace, mais légèrement flippant.
Le Mobilier : Quand le Luxe Rencontre le Porte-Monnaie Vide
Choisir les canapés fut une véritable épreuve. Entre vouloir impressionner les futurs clients et ne pas finir sur la paille, mon cœur balançait. J’ai fini par craquer pour un modèle à 900 balles. Oui, c’est cher, mais imaginez le client qui pourra dire « J’ai posé mes fesses sur un canapé qui coûte plus cher que ma voiture » !
La Déco : L’Art de Faire Croire que Tout Est Réfléchi
Pour les œuvres d’art, j’ai joué au faux décorateur pompeux. « Faussement aléatoire », « soigneusement posé », ce sont mes nouveaux mantras. J’ai même réussi à débloquer de nouvelles options pour personnaliser les tableaux. Qui aurait cru que choisir entre un triptique vertical ou horizontal serait aussi stressant ?
Le Budget : La Grande Dégringolade
Au fil de mes choix « judicieux », j’ai vu mon budget fondre comme neige au soleil. De 21 000 $, je suis passé à… 7 $. Oui, vous avez bien lu. SEPT DOLLARS. Je pourrais à peine m’acheter un café avec ça, et encore, pas un de ces cafés fancy qu’on servirait dans mon penthouse de luxe !
La Terrasse et le Spa : Les Grands Oubliés
Dans mon élan créatif (et ma folie dépensière), j’ai complètement zappé la terrasse et le spa. Oups ! Voilà ce qui arrive quand on met tout son budget dans des canapés hors de prix et des œuvres d’art pseudo-intellectuelles. La vue sur Central Park ? Les clients devront l’imaginer pour l’instant.
Le Sol du Spa : Un Dilemme Mouillé
Pour le peu d’argent qu’il me restait, j’ai dû choisir le sol du spa. Entre le marbre glissant (bonjour les procès), la moquette (l’horreur hygiénique) et la céramique basique, mon cœur balançait. J’ai fini par opter pour de la pierre noire, parce que rien ne dit « luxe » comme la possibilité de se casser la figure avec classe.
Conclusion : L’Art de Rénover avec Style (et Sans Argent)
Au final, j’ai réussi à créer un hall d’entrée qui en jette… et pas grand-chose d’autre. Mes clients vont devoir faire preuve d’imagination pour le reste. Mais hey, n’est-ce pas ça le vrai luxe ? Laisser place à l’imagination ?
Cette aventure dans Hotel Renovator m’a appris une chose : le luxe, c’est savoir faire croire que tout est parfait, même quand on n’a plus un rond. Et si quelqu’un demande pourquoi le spa n’est pas fini, on dira que c’est un concept artistique avant-gardiste. Ça marche à tous les coups !
En attendant de renflouer les caisses pour terminer ce chef-d’œuvre inachevé, je vais laisser mes fidèles robots nettoyer les quelques mètres carrés que j’ai réussi à décorer. Qui sait, peut-être trouveront-ils quelques pièces tombées derrière les canapés hors de prix ?
Si vous voulez voir la suite de mes aventures de décorateur fauché mais ambitieux, n’hésitez pas à liker, commenter et vous abonner. Qui sait, avec assez de vues, je pourrai peut-être m’offrir un vrai designer pour finir ce penthouse !