Imaginez un bodybuilder entrepreneur, aussi charismatique qu’écervelé, qui décide de transformer un modeste village de 86 habitants en une mégalopole étincelante. Bienvenue dans Cities: Skylines II, où Steawart, notre héros improbable, s’attaque à Flobuge, une petite ville portuaire en déclin située à 50 miles au nord de New York. Armé d’un budget (théoriquement) illimité, d’une obsession pour les ronds-points, et d’une vision urbanistique aussi ambitieuse que chaotique, Steawart compte bien faire de Flobuge la prochaine perle de la côte Est. Spoiler : ça ne va pas se passer comme prévu.
Dans ce Let’s Play en six épisodes, nous suivons Tim, le bras droit de Steawart (et narrateur officiel de cette folie), alors qu’il tente de concrétiser les rêves démesurés de son patron. Entre centrales nucléaires placées à côté de zones résidentielles, ponts surélevés « par intuition », et une gestion de l’eau qui frôle le désastre, Flobuge va vivre une métamorphose… ou un désastre architectural. À vous de juger !
Flaubeuge : D’un Champ de Blé à une (Future) Mégalopole
Épisode 1 : Les Premières Fondations (et les Premiers Doutes)
Flobuge, c’est 86 habitants, une ferme familiale, une baie pittoresque, et une vue imprenable sur New York (quand il ne fait pas nuageux). Pour Steawart, c’est surtout une toile blanche sur laquelle il compte peindre sa vision d’une ville moderne. Mais avant de construire des gratte-ciels, il faut… des routes. Beaucoup de routes. Et surtout, des ronds-points. Parce que pour Steawart, un rond-point, c’est comme un smoothie protéiné : ça résout tous les problèmes.
« Regardez-moi ce magnifique rond-point ! C’est pas beau, ça ? Ça va permettre aux gens de faire demi-tour… ou de se perdre pour l’éternité. C’est ça, l’essentiel ! »
— Tim, bras droit résigné de Steawart
Les Priorités de Steawart (ou l’Art de l’Improvisation Urbaine)
- Une centrale nucléaire en plein centre-ville : « Pour l’électricité, hein. Les gens aiment ça, l’électricité. »
- Un pont surélevé à 30 mètres : « Parce qu’une intuition me dit qu’il faut le faire très haut. Peut-être à cause du scénario. Ou pas. »
- Des zones industrielles à côté des habitations : « Comme ça, les ouvriers n’auront pas loin à aller. C’est écolo, en quelque sorte. »
- Un crématorium juste à côté de l’hôpital : « C’est pratique ! Les patients n’auront qu’à traverser la rue pour leur dernier voyage. »
Un chef-d’œuvre d’ingénierie… ou un cauchemar pour les conducteurs ?
Les Défis de Flobuge (ou Comment Tout Peut Mal Tourner)
- L’eau et l’électricité : « On a mis des postes de transformation un peu partout. Est-ce que ça marche ? Franchement, je ne sais pas. Mais ça clignote, donc c’est bon signe. »
- La pollution : « Les usines de retraitement d’eau, c’est pour se donner bonne conscience. En vrai, on rejette tout dans la baie. New York fait pareil, non ? »
- Les bouchons : « Les embouteillages ? C’est juste la preuve que la ville est vivante ! Et puis, avec tous ces ronds-points, les gens auront le temps d’admirer le paysage. »
- Les habitants : « Ils réclament des écoles et des parcs. Mais Steawart veut du béton. Donc on leur construit un terrain de jeu en plastique à côté d’une usine pétrochimique. Ça compte, non ? »
Les Secrets de la « Réussite » de Steawart
1. Le Budget Illimité (en Théorie)
Tony Shark, le cofinanceur du projet, a lancé un « Budget illimité ! » enthousiaste. Sauf que dans Cities: Skylines II, même avec des fonds infinis, la logique urbanistique a ses limites. Résultat :
- Des autoroutes qui mènent nulle part.
- Des quartiers résidentiels sans eau potable.
- Une gare ferroviaire abandonnée parce que « personne ne prend le train de toute façon ».
« Steawart m’a dit : ‘Fais couler le béton à flot.’ Donc je fais couler le béton. Même si ça ressemble plus à une soupe qu’à une ville. » — Tim
2. Les Ronds-Points : Une Obsession Nationale
Steawart adore les ronds-points. Il en met partout :
- À l’entrée de la ville.
- En plein milieu des zones industrielles.
- Même à côté du cimetière (parce que « les morts aussi ont le droit de tourner en rond »).
Conséquence : Les habitants de Flobuge passent plus de temps à faire des tours en voiture qu’à travailler. Mais bon, au moins, ils ne se plaignent pas des feux rouges.
3. La Stratégie Économique (ou son Absence)
- Pas d’écoles : « Les enfants peuvent apprendre dans la rue. C’est plus authentique. »
- Pas de parcs : « Un terrain vague avec deux balançoires, ça suffit. Et puis, on a la baie ! (Même si elle est polluée.) »
- Un hôpital géant… mais pas de médecins : « On a les bâtiments. Les docteurs, ça viendra après. Peut-être. »
Flobuge vs. New York : Le Match (Déséquilibré)
Critère | Flobuge | New York |
---|---|---|
Population | 86 (départ) → 6 000 (après 1 épisode) | 8,5 millions |
Transports | 1 ligne de train (abandonnée) | Métro, bus, taxis, vélos… |
Attractions | 1 musée (vide), 1 parc pour chiens | Central Park, Times Square… |
Pollution | ★★★★★ (max) | ★★★☆☆ |
Ronds-points | 47 (et counting) | Environ 3 (et encore…) |
Avenir | « On verra bien » | « On a un plan » |
Le Futur de Flobuge : Mégalopole ou Ville Fantôme ?
À la fin de l’épisode 1, Flobuge compte 6 000 habitants, une centrale nucléaire qui fume, et un pont si haut qu’on dirait un monument à l’échec urbanistique. Mais Steawart n’a pas dit son dernier mot :
- Prochain épisode : La construction d’un quartier de luxe sur une île artificielle (parce que « les riches aiment bien être isolés »).
- Un clip musical : « Everything Will Change » (spoiler : non, rien ne changera).
- Une surprise : Un documentaire exclusif sur l’ascension de Steawart, disponible à 1 000 abonnés.
« Flobuge, c’est comme un smoothie : au début, c’est juste des fruits pourris, mais si tu mixes assez fort, ça devient… quelque chose. Peut-être pas bon, mais quelque chose. » — Steawart, philosophe malgré lui
Pourquoi Regarder Ce Let’s Play ?
✅ Pour rire : Parce que voir Steawart gérer une ville, c’est comme regarder un chat essayer de conduire une voiture.
✅ Pour apprendre : « Comment ne PAS construire une ville » – un guide pratique en 6 épisodes.
✅ Pour le suspense : « Est-ce que Flobuge va survivre à Steawart ? » (Spoiler : non.)
✅ Pour la musique : Parce que « Tony’s Smile (A Shark Is Watching You) » est un tube en devenir.
Conclusion : Flobuge, ou l’Art de Rater avec Panache
Cities: Skylines II est un jeu de simulation urbaine. Steawart en a fait un spectacle comique. Entre décisions absurdes, ronds-points inutiles et improvisation totale, Flobuge est devenue bien plus qu’une ville : une œuvre d’art chaotique.
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- Commentez : « À votre avis, combien de temps avant que Flobuge ne sombre dans le chaos ? »
📢 Prochain épisode : « Flobuge 2.0 – Quand Steawart Découvre les Métros (et les Fait Dérailler) » – Bientôt sur la chaîne !