Steawart et le Rêve (Bétonné) de Flaubeuge : Quand Cities: Skylines II Rencontre l’Absurdité Sportive !
Bienvenue à Flaubeuge, la ville où les rond-points sont une religion, les stades poussent comme des champignons (même quand le jeu n’en propose pas), et où Steawart — notre bodybuilder-tycoon préféré — décide de réinventer le sport, l’urbanisme et la corruption en un seul épisode. Dans ce nouvel opus de Cities: Skylines II, notre héros (un peu écervelé mais toujours successful) nous prouve une fois de plus que l’argent peut tout acheter… même des stades qui n’existent pas. Accrochez vos ceintures, on vous emmène visiter une ville où le béton coule à flot, les budgets de l’éducation fondent comme neige au soleil, et où un commissariat de police côtoie un centre de renseignement (parce que bon, il faut bien surveiller les supporters, n’est-ce pas ?).
Flaubeuge : Quand la Vision de Steawart Défie les Lois de Cities: Skylines II
Dans l’épisode 5 de sa série Tycoon Territory, Steawart nous révèle son grand projet : transformer une zone désaffectée de Flaubeuge en un complexe sportif géant, digne des Jeux Olympiques… ou d’un cauchemar urbanistique. Problème ? Cities: Skylines II n’a pas de stades. Qu’à cela ne tienne ! Steawart, jamais à court d’idées (ou de béton), décide de bricoler sa propre version avec ce qu’il trouve : des universités transformées en arènes, des centres de renseignement rebaptisés « stades haute sécurité », et des terrains de basket à perte de vue. Parce que quand on est un magnat immobilier musclé, on ne se laisse pas arrêter par des détails comme… la logique.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore Cities: Skylines II, sachez que ce jeu de simulation urbaine permet de construire, gérer et détruire des villes entières avec un réalisme poussé. Mais Steawart, lui, préfère le réalisme déjanté. Son objectif ? Faire de Flaubeuge la capitale mondiale du sport, quitte à fermer des écoles pour financer ses folies. « Les gens ne verront que du feu », déclare-t-il en riant, tandis qu’il supprime le budget éducation pour ériger un métro aérien qui ne mène nulle part (mais qui est « très esthétique », selon lui). Et bien sûr, tout ça sous l’œil bienveillant de son associé Tony Shark, un nom qui ne présage rien de bon.
Les Perles du Génie Urbain de Steawart
- Des stades « maison » : Puisqu’il n’y a pas d’option « stade » dans le jeu, Steawart utilise des bâtiments universitaires et des centres de renseignement pour en créer. « Si ça ressemble à un stade, c’est un stade ! » affirme-t-il, avant d’ajouter des caméras de surveillance partout pour « la sécurité des spectateurs ».
- Une autoroute pour rien : Parce qu’une ville sportive a besoin d’accès VIP, Steawart construit une autoroute surélevée qui ne dessert aucun endroit précis, mais qui est « parfaite pour les selfies ».
- Un village olympique… en pavillons chic : Pour loger les athlètes (ou les directeurs des équipements sportifs, on ne sait pas trop), il érige des maisons de luxe avec vue sur les parkings. « Ils auront même un suivi nutritionnel ! »
- La loge du gardien : Un détail qui compte, surtout quand des avions passent au-dessus des terrains. Priorités, que diable !
Et puis il y a la cerise sur le gâteau : un clip musical annoncé pour le prochain épisode, avec une chanson qui promet de révéler « la vérité sur Flaubeuge ». Entre les rond-points inutiles, les parkings géants et les stades improvisés, on se demande bien ce qu’il reste comme espace pour… les habitants. Mais Steawart a une réponse toute prête : « Les touristes n’ont pas besoin de logements, ils ont besoin de rêves ! Et de béton. »
« Je ne comprends pas pourquoi les gens critiquent mes choix. Flaubeuge, c’est l’Amérique en mieux : plus de béton, plus de stades, et zéro complexité ! » — Steawart, tycoon visionnaire (et légèrement mégalo).
Cities: Skylines II : Un Jeu de Simulation… ou un Terrain de Jeu pour Tycoons Fous ?
Cities: Skylines II est connu pour son réalisme et sa profondeur, mais Steawart nous rappelle que c’est aussi un terrain de jeu sans limites pour les esprits créatifs (ou chaotiques). Son approche ? Ignorer les règles et faire ce qui « a de la gueule ». Résultat : une ville où les transports en commun sont décoratifs, où les commissariats servent à impressionner, et où les stades sont des monuments à la folie humaine.
Bien sûr, tout n’est pas parfait. Steawart avoue lui-même que ses échangeurs autoroutiers créent des bouchons, que ses stades improvisés ne sont pas très fonctionnels, et que les Flaubeugeois risquent de payer cher ces caprices urbanistiques. Mais peu importe : l’important, c’est le spectacle. Et puis, comme il le dit si bien : « Si ça ne marche pas, on accusera Tony Shark. »
Et Vous, Que Feriez-Vous à Flaubeuge ?
Si vous aussi vous voulez défier les lois de l’urbanisme dans Cities: Skylines II, inspirez-vous de Steawart :
- Construisez des infrastructures inutiles mais stylées.
- Fermez des écoles pour financer vos projets (bon, peut-être pas en vrai).
- Inventez vos propres bâtiments quand le jeu ne vous donne pas ce que vous voulez.
- Et surtout, amusez-vous : après tout, c’est ça, l’esprit Tycoon Territory !
Restez connectés pour le dernier épisode de cette saga, où Steawart promet un live exceptionnel pour répondre à vos questions et révéler les coulisses de Flaubeuge. En attendant, dites-nous en commentaire : quel est le projet le plus fou que vous avez réalisé dans Cities: Skylines II ?