Rénovation d’hôtel délirante : je transforme un hall pourri en palais cinq étoiles !
Salut la team des rénovateurs en herbe ! Aujourd’hui, je me lance dans une mission qui ferait pâlir même les plus grands designers d’intérieur : rénover le hall d’entrée d’un hôtel qui a clairement vu de meilleurs jours. Attachez vos ceintures, ça va être un sacré chantier !
Le hall avant : un musée des horreurs décoratifs
Imaginez un peu la scène : j’arrive dans ce hall, et là, c’est le drame. On se croirait dans un mélange improbable entre la maison de votre grand-mère et un décor de film d’horreur des années 80. Le sol ? Un parquet qui a dû connaître la guerre. Les murs ? Un patchwork de papiers peints datant probablement de l’ère préhistorique. Et ne parlons même pas des meubles, qui semblent avoir été récupérés dans une brocante post-apocalyptique.
Ma mission : transformer ce cauchemar en rêve éveillé
Le jeu me donne une mission claire : faire de ce hall un endroit où les clients ne voudront pas s’enfuir en courant dès qu’ils franchissent la porte. Challenge accepted !
Le sol : adieu parquet vieillot, bonjour classe et élégance
Premier chantier : le sol. Je dis au revoir au parquet fatigué et j’opte pour un revêtement plus chic. Après avoir hésité entre du marbre (parce que YOLO) et un parquet plus moderne, je choisis finalement un joli bois foncé. Pourquoi ? Parce que je suis un rebelle qui aime vivre dangereusement avec des enfants et des valises à roulettes.
Les murs : une symphonie de textures et de couleurs
Ensuite, je m’attaque aux murs. Je décide de jouer la carte de la diversité : un mur en pierre blanche par-ci, un panneau de bois par-là, et même un peu de brique pour faire bonne mesure. C’est comme si Bob Ross avait décidé de peindre un hall d’hôtel plutôt qu’un paysage bucolique.
Le plafond : quand le haut rencontre le bas
Pour le plafond, je choisis un revêtement qui rappelle le sol. Parce que la symétrie, c’est la clé d’un design réussi, n’est-ce pas ? (Spoiler alert : pas toujours, mais chut, on fait comme si.)
Meubler ou ne pas meubler, telle est la question
Vient ensuite le moment crucial : le mobilier. Je place stratégiquement des canapés, des tables basses et des plantes. C’est comme jouer aux Sims, mais en version hôtel de luxe. Je me surprends même à murmurer « Sul sul » en plaçant chaque meuble.
La touche finale : des détails qui font la différence
Pour finir en beauté, j’ajoute des éléments de décoration : des tableaux, des miroirs, et même une télé murale. Parce que rien ne dit « bienvenue dans notre hôtel chic » comme une télé qui diffuse probablement des infos en boucle.
Le résultat : un hall digne des plus grands palaces (ou presque)
Après des heures de travail acharné (et quelques crises de nerfs sur le placement des meubles), le résultat est là. Le hall est méconnaissable ! On est passé de « squat abandonné » à « peut-être que George Clooney viendrait boire un café ici ».
Les leçons apprises : la déco, c’est pas de la tarte
Cette expérience m’a appris plusieurs choses :
- La symétrie, c’est bien, mais faut pas abuser.
- Les plantes, c’est comme les Pokémon : faut pas tous les attraper.
- Placer des meubles dans un jeu, c’est aussi stressant que de monter un meuble IKEA dans la vraie vie.
Conclusion : de 0 à héros de la déco
Au final, j’ai réussi à transformer ce hall d’hôtel en un endroit où les gens voudront peut-être vraiment séjourner. J’ai gagné 1,5 étoile, ce qui n’est pas énorme, mais hey, Rome ne s’est pas faite en un jour !
Cette aventure m’a rappelé mes tentatives ratées sur Les Sims, sauf qu’ici, au moins, je n’ai pas eu à gérer des personnages qui refusent d’aller aux toilettes ou qui meurent mystérieusement dans la piscine.
Le mot de la fin : prêt pour le prochain défi !
Alors que je contemple mon œuvre, fier comme un paon qui aurait réussi à décorer son propre nid, je me prépare déjà mentalement pour le prochain défi : organiser un enterrement de vie de jeune fille. Entre ça et le vampire qui dort dans le sous-sol (oui, vous avez bien lu), je sens que les prochains épisodes vont être… intéressants.
En attendant, si vous aussi vous voulez vous essayer à la rénovation d’hôtel virtuelle, n’hésitez pas à tenter l’expérience. Qui sait, vous découvrirez peut-être que vous êtes le nouveau Philippe Starck du gaming !
Et n’oubliez pas : dans le doute, mettez des plantes. Beaucoup de plantes.
À la prochaine pour de nouvelles aventures décoratives !